par L’alcoolisme dans ma profession
Lors d’une visite professionnelle pour un salon en France, mon enthousiasme fut revigoré autour de mon moment favori boire un verre avec des amis. Lors de mon passage, je bus par jour environ une bouteille et demie de vin sur environ 10 heures, accompagné de tapas ou de plats. Mais chose aussi très importante, j’ingurgitais aussi plus de 2 litres d’eau par jour afin de ne pas attraper de crampes dans les jambes mais aussi optimise la filtration rénale du sang selon mon médecin. . Grâce à la qualité du vin (bio sans produits chimiques s avec un peu ou sans de soufre, mon sommeil fut de plomb, et mes réveils sans maux de tête.
Depuis 2000, je suis un esthète pour ma nourriture et pour ma boisson qu’elle soit alcoolisée ou non. Ce fut l’une des plus importantes décisions de ma vie. Le résultat est très simple, malgré deux bras cassés et un col du fémur en 15 ans, je suis en forme pour un homme de 51 ans.
Le lundi 4 novembre 2019 au 104 à Paris, ma visite fut très enrichissante à la fois professionnelle et personnelle. La cinquantaine de vins dégustés furent recrachés. Des contacts furent établis et des amitiés furent aussi retrouvées.
Mes observations deviennent de plus en plus profondes grâce au développement de mon empathie. Après plusieurs années, je suis enfin revenu à Paris . Après dix ans, certains n’ont pas changé malgré quelques cheveux blancs, comme Pierre Guigui journaliste et créateur du concours amphore, David Bireau (sommelier arrivé deuxième en 2015 lors des mondiaux argentin) Christian Maurel du Bougainville ou Emmanuel Zanni caviste à Paris. En recrachant , ils se préservent du fléau de notre métier l’alcoolisme. D’autres au contraire, sont marqués par l’excès de la vie parisienne.
J’ai rencontré deux restaurateurs sur un stand du Jura, ils avaient la quarantaine, et leurs visages étaient bouffis , rouges, bref tout simplement tuméfiés par l’alcool. Un autre démon s’abat sur ce type de personne (je l’ ai vu aussi en Norvège), c’est la cocaïne. Ce poison détruit les neurones, mais aussi déstabilise le chakra couronne. La conséquence peut-être très grave : une vie complètement détachée de la réalité qui se termine souvent par un arrêt cardiaque. Il s’appelait Didier, c’était l’un des meilleurs cuisiniers de sa génération, passé par Robuchon et La Meuloise à Chagny , il décéda en 1996 à l’âge de 36 ans .
On peut s’éclater sans se droguer, ni se bourrer la gueule. L’alcoolisme et la drogue sont une terrible dépendance.
«Il faut savoir sa source : Pourquoi vous êtes dépendants ? En effet, selon Lise Bourbeau (psychologue 1) auteure du livre « Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même” aux éditions E.T.C. La blessure de l’abandon donne le masque du dépendant. La solution est simple : aimer sa vie et soi-même, accepter ce que vous avez eu, et surtout pardonner. Les frustrations, les aigreurs, et les regrets sont souvent sources d’une dépendance en se plongeant dans l’alcoolisme. » article le bien boire .
Nous avons qu’une seule vie alors respectons là et travaillons sur nous. Nous sommes des êtres avant tout perfectibles, dont la progression est incommensurable . Notre éducation , nous transforme en suiveur , et en consommateur. Le travail cognitif, la remise en question , 2 phases essentielles sont effacés de nos mémoires instructives. Ainsi, notre confiance en soi est omise, laissant place à un engrenage construits de doutes, de frustration, d’anxiétés, et autres angoisses. L’alcoolisme peut-être la conséquence de cette spirale chez les plus fragiles d’entre nous. Notre ego, notre ennemi intime et viscéral, nous ronge de l’intérieur omet à la fois le pardon et l’humilité. Souvent, Le fait de se remettre en question se transforme en une ascension de l’Himalaya pour beaucoup d’entre- nous, alors que la fuite en avant tels que la drogue ou l’ alcool sont des chemins plus faciles.
Le pardon, l’amour de soi sont les portes de sortie pour ces dépendances.
Note de l’auteur :
Dans mon restaurant je mets un point d’honneur, à goûter beaucoup de vins, mais ils ne sont jamais bus. De temps en temps, je m’offre un petit verre de vin, après un gros service. Je n’oublie jamais de beaucoup m’hydrater : L’eau est indispensable pour une bonne santé et il est souvent remplacé par des thés, café ou sodas. C’est une erreur….
Ensuite, certains compensent leur manque d’alcool par des sodas, mon conseil est de boire de l’eau citronné pour couper l’envie de sucre.
« Buvez nature , et vous aurez le bout dur » est ma phrase inventée en 2002 après un week-end très festif. Le vendredi soir, je sors avec des amis en discothèque, je bois un whisky soda. La conséquence fur un enfer pendant ma nuit : impossibilité de dormir suivi d’ une grosse migraine. Le samedi, c’était le salon de Groslay. Après une journée de dégustation instructive, je mangeais avec Claude Courtois et Compagnie. Je bus environ une bouteille ce soir-là. Je dormis comme un bébé et le lendemain, je me réveillai à 7h du matin avec une très grosse érection. « Pourquoi » c’était ma première question « alors que je bus moins la veille, pourquoi ma nuit et mon matin furent difficile. Serait-ce une réaction de mon corps suite au verre d’un mauvais alcool ingurgité la veille ?
Cette phrase « buvez nature et vous aurez le bout dur » est le résumé de mon expérience comparatif entre un verre d’un mauvais alcool et d’une bonne bouteille de vin bu sur environ 2h30. Après un repas arrosé de vin même nature, les compétences sexuels peut-être diminuées. A la différence de la femme que l’alcool excite, nous les hommes, cela nous endort et « Kiki »avec. Mais à la différence avec d’autre alcool ou vin et lors d’une consommation raisonnable, le vin bio pur et le vin nature nous ne donnent pas la migraine, et nous offrent des lendemains qui chantent. Mais ce n’est pas la raison pour laquelle, que nous devons boire des litres de vins bio pur et nature quotidiennement….l’alcoolisme n’épargne pas les professionnels du vin nature…
1 1/ A propos de l’auteur Lise Bourbeau : Le livre m’a beaucoup aidé. J’ai vu sa photo sur son site. Mon empathie m’a donné sur cette dame, une intuition négative. Y aurait-il une secte derrière ? Je ne sais pas. Ma philosophie est de lire et d’écouter toute information, de prendre le positif et de laisser le négatif. Et surtout de suivre mes intuitions…
